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  • Ce dossier réalisé par le site "L'histoire par l'image" présente François-Désiré Froment-Meurice, orfèvre parisien le plus renommé du XIXe s à travers trois documents issus des collections du musée d'Orsay. L'étude propose un contexte historique rappelant la renommée de Froment-Meurice mais aussi les difficultés financières après la révolution de 1848. L'analyse de deux photographies témoignant de l'activité de Froment-Meurice ainsi que d'une de ces oeuvres permet de comprendre l'éclectisme de l'orfèvre. Une interprétation montre l'étendu de la clientèle de Froment-Meurice. (d'après www.histoire-image.fr)

  • Le musée d'Orsay présente une chaise de l'artiste italien Carlo Bugatti. Le modèle de cette chaise est dessiné par Carlo Bugatti pour une pièce qu'il décore en reproduisant une coquille d'escargot à l'échelle humaine. Variation sur la morphologie de l'animal autant que méditation sur le thème de la spirale, cette "installation" marque le zénith de Carlo Bugatti dans la création de mobilier. Plusieurs vues de cette chaise sont consultables. Une bibliographie dans la notice complète accompagne cette présentation. (D'après www.musee-orsay.fr)

  • L’acajou fut à l’origine utilisé dans des centres provinciaux (meubles de ports : armoire bordelaise) ou à l’étranger (dès le début du XVIIIe siècle en Angleterre). Il ne s’impose à Paris que dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. D’abord réservé à certains usages (la toilette ou le repas), l’acajou devient sous le règne de Louis XVI le bois noble par excellence, utilisé en massif ou en placage. (www.lesartsdecoratifs.fr)