
- Ressource proposée par : Bibliothèque nationale de France (BnF)
Description
(d'après www.bnf.fr)
Le XIXe siècle pratiquait une sorte de rite aujourd'hui disparu, celui du portrait mortuaire. Masques, peintures, dessins ou photographies fixaient les traits de morts illustres mais aussi d'inconnus dont les familles gardaient ainsi le souvenir. Le musée d'Orsay présente quelque oeuvres de la fin du Moyen Age au XXe s., du masque mortuaire présumé de Battista Sforza, pris en 1472, à la photographie de Mère Teresa, morte à Calcutta en 1997. Il s'agit de montrer combien est ancienne la tradition de la "feinte", cette empreinte qui prenait la place du corps du défunt dans les funérailles. (www.musee-orsay.fr)
La Maison Jacques-Prévert d'Omonville-la-petite a réalisé une exposition ayant pour thème "Jacques Prévert et la photographie". L'exposition comporte cinq parties consacrées à la vie mondaine de Prévert, à ses différents portraits, à ses "détournements" (collages, coloriages, montages) ainsi qu'à ses collaborations avec Brassaï et Izis.
Si Gertrude Stein est d’abord connue en France comme collectionneuse d’avant-garde, son œuvre littéraire immense ainsi que ses rapports d’étroite amitié intellectuelle avec Pablo Picasso étaient restés dans l’ombre. À travers la présentation d’œuvres majeures du cubisme mais aussi de travaux d’artistes plus contemporains, qu’il s’agisse de peinture, de sculpture, de vidéo, de musique ou encore de captation de performance ou de danse, l’exposition et ce dossier qui l'accompagne traverse un siècle de création artistique.