Cet événement fondateur de la Révolution française constitue une étape symbolique dans la destruction de l’absolutisme.
Deux documents illustrent l'organisation de la fête : le mémoire de l'artificier Ruggieri relatif à la Fête de l'Etre Suprême, et une vue du jardin national et des décorations. Aux Tuileries, le peuple doit d’abord rejeter l’athéisme puis, au Champ-de-Mars, reconnaître l’Etre Suprême et célébrer son adhésion à la Révolution.
Louis-Philippe consacra cette salle aux représentations des réunions des États généraux et autres assemblées convoquées par le roi, qui ont émaillé l’histoire de France. Il voulait rappeler que, depuis les temps les plus anciens, en vertu du lien très étroit qui unissait la monarchie française et son peuple, les plus grandes décisions de l’histoire du royaume étaient prises par l’un et l’autre, de manière concertée. La Salle des États généraux du musée de l'Histoire de France est ici présentée par une vidéo qui retrace les circonstances de sa création.
Ce lien (cliquer sur piste 1) vous permet d'écouter le cycle de conférences organisé à l'occasion de l'exposition "Marie-Antoinette" qui a eu lieu en 2008 aux Galeries nationales du Grand Palais. Cette exposition avait pour ambition première de montrer les rapports de la souveraine avec le monde des arts. La première piste d'écoute concerne la présentation de l'exposition, sa genèse, ses partis pris et ses enjeux par les deux commissaires, Pierre Arizzoli-Clémentel et Xavier Salmon. Les oeuvres évoquées peuvent être pour la plupart visionnées sur le site de l'Agence photographique de la RMN (www.photo.rmn.fr). (D'après www.rmn.fr)