Les techniques des peintres cubistes ont été employées pour les opérations de camouflage pendant la Première guerre mondiale. Le phénomène est analysé à travers trois exemples de camouflage et une peinture de George Braque : les usines du Rio Tinto à l'Estaque.
Découvrez Le Scribe, conservé au musée des Beaux-arts de Caen, où Jacques Villon, l'auteur, explore la voie de ce qu’il nomme le « cubisme impressionniste », initié dans les années 30, avec un net intérêt porté sur les formes colorées et leur découpage dans l’espace de l’œuvre.
Au milieu des années 20, Erich Pommer, le directeur des studios de la UFA à Berlin, accorde au cinéaste allemand le plus important du moment, Fritz Lang, des moyens considérables pour qu’il fasse un film capable de rivaliser avec les grosses productions américaines, il s'agit de "Metropolis". Le site "L'Histoire par l'image" consacre ici une étude à ce récit de science-fiction à travers une photographie du savant fou (joué par Rudolf Klein-Rogge), employé par le maître de la cité infernale de Metropolis, avec le robot qu’il a créé. (d'après www.histoire-image.org)
Avant de devenir le grand peintre de l'abstraction que le monde entier connaît, le jeune peintre néerlandais, Mondrian, d'abord paysagiste formé à l'école de la grande peinture hollandaise, découvrit le cubisme et le modernisme à Paris. A l'occasion d'une exposition en 2002, le musée d'Orsay retrace le cheminement de Mondrian jusqu'à la guerre de 1914, depuis ses racines picturales dans la tradition du XIXe s. jusqu'à l'abstraction. (www.musee-orsay.fr)