Le site Danses sans visa propose d'explorer les danses réunionnaises (séga et maloya) et antillaises (biguine et zouk). Ces pratiques chorégraphiques et musicales sont le fruit d'emprunts, de négociations, de recréations à partir de démarches individuelles et /ou collectives pour servir et asseoir une identité.
L'association des Transmusicales propose « what is… ? » une collection de podcasts de quelques minutes qui invitent à élargir ses connaissances et à découvrir une notion ou un style musical, sa genèse et ses évolutions. Ce podcast explore le Maloya une musique et une danse mais aussi une pratique culturelle et spirituelle étroitement liée à l’île de La Réunion.
Le site Danses sans visa propose d'explorer la danse comme l'expression des peuples dans toute leur diversité. Des spécialistes de la mémoire de la danse se sont plongés dans les archives de l'Ina pour en extraire soixante vidéos. Chaque extrait vidéo est accompagné d’un texte en français et en anglais. Les différentes entrées – cartographique, chronologique et thématique – constituent autant de façons de s’approprier cet outil. Les danses sont analysées pour leur parcours d'Afrique en Europe, d'Océanie, en passant par les Caraïbes et les Amériques.
Le site "L'Histoire par l'image" analyse l'oeuvre "Danse d'esclaves" attribuée à Augustin Brunias. Celui-ci observe, et la qualité d’information ethnologique de sa peinture éclate. L'étude se compose de trois parties : - le contexte historique qui permet de situer l'époque dans laquelle s'inscrit l'oeuvre, - l'analyse de l'image décrit l'oeuvre et dégage la signification des éléments offerts au regard de l'observateur, - l'interprétation met en évidence l'apport historique de l'image. Une animation vidéo complète le document. (d'après www.histoire-image.fr)