Une remarque sur cette ressource? Contactez-nous !

Les ressources suivantes pourraient également vous intéresser…

  • « Les temps tiraillés » de Myriam Gourfink, présentés au Centre Pompidou en janvier 2009, illustrent la rencontre entre arts de la scène et nouvelles technologies, la collaboration régulière entre les spectacles vivants du Centre et l'IRCAM. Myriam Gourfink s’inscrit dans une recherche chorégraphique qui s’intéresse essentiellement à l’organisation des mouvements de la danse, sa structure interne, ses schémas dans l’espace. Une recherche qui, depuis Waw aux Temps tiraillés, s’attache inlassablement à tisser des liens entre mouvements du corps et nouvelles technologies. (d'après http://www.centrepompidou.fr/)

  • Ce lien vous permet d'écouter le cycle de conférences organisé à l'occasion de l’exposition "Emil Nolde" présentée aux Galeries nationales du Grand Palais du 25 septembre 2008 au 19 janvier 2009. Artiste, peintre et graveur, Emil Nolde (1867-1956) est une figure incontournable de l'expressionnisme allemand. Véritable parcours au coeur de tableaux de l'artiste et d'extraits de films de danseuses expressionnistes où vient se dessiner un double espace, la quatrième piste d'écoute apporte une analyse singulière, transversale, sur les relations qu'entretiennent la peinture et la danse dans l'œuvre de Nolde. La conférence est assurée par Daniel Dobbels, chorégraphe, écrivain, philosophe, professeur à l'École des Beaux-Arts de Paris.

  • Tout au long d'un parcours dans les collections du Centre Pompidou, ce dossier expose comment la représentation du corps traverse le XXe siècle. De la révolution cubiste à l’art brut, en passant par Giacometti et Bacon on assiste à une véritable remise en cause de toute idée de beauté, de vraisemblance et de proportion. Puis disparaissant en tant qu’image, le corps devient perceptible sur la toile comme trace réelle de l’artiste à l’œuvre. Avec le body art, l'art corporel met en jeu le corps devenu lui-même support de l'œuvre. Enfin, la perception, la relation entre l'œuvre et le corps du spectateur devient le sujet principal d'œuvres où l'objet de la représentation a disparu. (d'après centrepompidou.fr)