À partir du travail d’une dizaine de dessinateur·rices contemporain·es qui travaillent pour la presse écrite, la télévision ou Internet, l’exposition en ligne « Traits de justice » explique le fonctionnement de la justice en France.
Le dossier de l’exposition de la BnF met en évidence l’articulation de l'œuvre de Daumier avec son époque. Il fait pénétrer le lecteur dans l’atelier du lithographe à travers toutes les étapes de la fabrication des lithographies. Enfin, il souligne l’engagement commun de Daumier et de ses héritiers. Des feuilletoirs regroupent une partie de l’iconographie par thèmes, avec possibilité de zooms. Des dessinateurs contemporains interviewés disent le lien qu’ils entretiennent avec Daumier.Il propose une rapide histoire de la caricature, en définit les techniques et procédés. Il met l’oeuvre de Daumier en perspective dans son contexte historique et propose des activités pédagogiques. Cette exposition est également disponible en anglais.
Depuis le début des années deux-mille, un nouveau marronnier s’est installé dans le paysage des rentrées littéraires : le procès pour diffamation ou atteinte à la vie privée. On se souveint par exemple des très médiatisées « affaires » Carrère ou Enthoven. Balises de la Bpi s’interroge sur cette judiciarisation croissante de la littérature et propose quelques exemples d'œuvres et d'auteurs qui offrent un regard singulier sur les liens entre littérature et réel.
Cette étude du site "L'Histoire par l'image" nous permet de lire la lettre originale écrite par Zola (Musée d'histoire contemporaine / BDIC) et publiée dans "L'Aurore" le 13 janvier 1898 dans laquelle l'écrivain s'engage publiquement à défendre Dreyfus et accuse les ministres de la Guerre, les officiers de l’état-major et les experts en écriture convoqués lors du procès d’Esterhazy d’être responsable de la condamnation d’un innocent, en acquittant un coupable. (d'après www.histoire-image.org)