- Ressource proposée par : Médiathèque de l'architecture et du patrimoine
Description
(d'après http://www.mediatheque-patrimoine.culture.gouv.fr)
Après l’Art nouveau, les formes naturelles se simplifient et se synthétisent, annonçant les figures géométriques des années 1920 (influence du cubisme). Les bijoutiers s’inspirent des styles Empire et Louis XVI pour réaliser des parures souvent composées de platine pour réaliser des montures plus fines et plus souples. (www.lesartsdecoratifs.fr)
Aux yeux du visiteur qui en franchissait une des quatre portes monumentales, l’Exposition internationale des arts décoratifs apparaissait avant tout comme un fantastique répertoire architectural. Il s’agissait d’être «moderne», et ce credo conférait une certaine unité à l’ensemble. Tous les pavillons adoptaient donc les volumes cubistes et la géométrie à la mode. (www.lesartsdecoratifs.fr)
L’ouverture du musée des Arts décoratifs – qui devait coïncider avec l’Exposition universelle de 1900 – ayant été retardée, on confia au décorateur et collectionneur Georges Hœntschel la décoration du pavillon de l’Union centrale des arts décoratifs à l’Exposition universelle, sur le thème d’un cabinet d’amateur. (www.lesartsdecoratifs.fr)